Avocat au Barreau de Paris depuis 2004, Olivier Foks est titulaire d’un diplôme d’études approfondies en droit des relations économiques, internationales et communautaires (DEA Paris X Nanterre) et d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en droits de l’homme et droit humanitaire (DESS Paris II Assas).
Maître Foks peut vous conseiller, vous assister dans vos démarches administratives et juridiques et vous représenter devant la plupart des juridictions.
En matière de conseil, il vous aidera à prendre les décisions adéquates à partir de l’analyse de votre cas et des dernières évolutions législatives et jurisprudentielles.
Il est également susceptible de vous assister dans la rédaction de différents types de documents (correspondances, réclamations, recours gracieux, contrats, conventions…).
Maître Olivier Foks peut agir pour votre compte, vous représenter et défendre vos intérêts devant les juridictions compétentes. Il intervient en particulier en matière de droit des étrangers, de droit de la nationalité et en droit international des droits de l’homme.
De plus, Maître Foks est chargé de mission et membre du groupe d’action judiciaire de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH).
A ce titre, il a effectué plusieurs missions internationales d’enquête relatives à la situation des droits de l’homme dans différents pays d’Afrique (Tchad, République Centrafricaine, Mauritanie, Burundi).
En sa qualité de membre du groupe d’action judiciaire (GAJ) de la FIDH, il intervient également de manière ponctuelle auprès de cette organisation pour conseiller et assister ses membres, notamment en matière de droit d’asile.
Maître Olivier Foks a également effectué plusieurs missions dans des pays d’Afrique, pour le compte de l’Union Européenne et/ou pour la FIDH, ayant pour objet, dans un cadre confidentiel, soit de participer à la détermination d’un plan d’appui à la justice (République Démocratique du Congo, provinces des Kivu et d’Ituri), soit d’évaluer a posteriori l’exécution de programmes d’appui à la justice nationale et aux victimes de crimes internationaux (République Démocratique du Congo 2010, Guinée 2013, Mali 2015, Côte d’Ivoire 2015, Haïti 2017).